Chauffer une véranda peut coûter un bras...une
Une véranda est par nature difficile à chauffer. Elle comporte beaucoup de surfaces vitrées qui, en hiver, sont autant de surfaces froides.
Posséder une véranda est un rêve pour beaucoup, offrant la possibilité de profiter du jardin ou de la vue tout en étant à l’abri.
Chauffer une véranda est un défi.
En raison de ses nombreuses surfaces vitrées, qui conduisent la chaleur et créent un effet de parois froides lorsque la température extérieure est hivernale.
Découvrons ensemble pourquoi.
Le verre est conducteur de la chaleur.
Le verre est un mauvais isolant, comparé aux murs ou plafonds, ce qui entraîne une consommation énergétique élevée pour maintenir une température confortable.
Des vitrages de très bonne qualité seront 4 à 5 fois moins isolants que des murs, sols ou plafonds très bien isolée.
Plus il y a de vitrages, plus le chauffage est gourmand en énergie.
Un système de chauffage convectif (qui chauffe l’air) n’offre pas une grande efficacité pour une véranda.
Les lois de la physique s’appliquent. L’air chaud monte.
En sortant des radiateurs (moins dense donc plus léger), l’air chauffé suit les parois avant de se concentrer dans la partie haute du volume. En chemin, il a déjà dispersé une bonne partie des calories, absorbées par les vitrages froids, en générant au passage de la condensation.
Il y a un effet de stratification.
Lorsque l’air refroidit, il redevient plus dense (plus lourd) et redescend (mais bien moins chaud qu’à l’origine). Plus on est près du sol, moins l’air est chaud. En outre, il n’y a quasiment aucun transfert de chaleur entre l’air chaud et les masses, donc, aucune accumulation.
Pour avoir une température plaisante, il faut surchauffer.
Un système de chauffage convectif (qui chauffe l’air) n’offre pas une grande efficacité pour une véranda.
Les lois de la physique s’appliquent. L’air chaud monte.
En sortant des radiateurs (moins dense donc plus léger), l’air chauffé suit les parois avant de se concentrer dans la partie haute du volume. En chemin, il a déjà dispersé une bonne partie des calories, absorbées par les vitrages froids, en générant au passage de la condensation.
Il y a un effet de stratification.
Lorsque l’air refroidit, il redevient plus dense (plus lourd) et redescend (mais bien moins chaud qu’à l’origine). Plus on est près du sol, moins l’air est chaud. En outre, il n’y a quasiment aucun transfert de chaleur entre l’air chaud et les masses, donc, aucune accumulation.
Pour avoir une température plaisante, il faut surchauffer.
Existe-t-il une solution qui pallie aux problèmes exposés précédemment ?
Les radiateurs à infrarouges longs REDWELL offrent une solution simple, efficace et économique.
Les masses ont de l’inertie, pas l’air.
Contrairement à la convection, ils ne chauffent pas l’air mais les masses (sol, murs, etc…).
Elles peuvent accumuler de la chaleur, et la restituer en douceur. Le ressenti est doux et agréable.
Le rayonnement des radiateurs infrarouge peut être orienté.
Dirigés vers les masses ayant les meilleures capacités d’accumulation, ils offriront un rendement optimal à moindre coût. Dans une véranda, on “vise” le sol, ou, à défaut, le mur d’appui de la véranda.
Le verre est imperméable au rayonnement.
Les infrarouges « rebondissent » dessus avec très peu de pertes jusqu’à trouver une surface qui les absorbe (sols, murs, épiderme).
Ces différents facteurs font des infrarouges REDWELL une solution simple, efficace et économique pour chauffer une véranda.
Qu’est ce que ça change ?
La température des masses (murs, sols, plafonds) sera supérieure à celle de l’air ambiant (de 1 à 2°C en moyenne pour des murs donnant sur l’extérieur, jusqu’à 10 à 12°C pour une dalle sur terre plein). En outre, le rebond du rayonnement sur les vitrages minore l’effet de paroi froide.
Voir l’étude du cas « Franck et Valérie »,
La cuisine familiale servant également d’espace repas au quotidien est installée dans une superbe véranda d’une quarantaine de m2 haute de plafond est chauffée agréablement à moindre coût.
Avec un chauffage convectif, les masses, plus froides, aspirent la chaleur vers l’extérieur, avec des infrarouges REDWELL, les masses, plus chaudes, renvoient la chaleur vers l’intérieur.
Le rendement est nettement supérieur pour un coût d’usage nettement inférieur.